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    Par fanguk le 24 Décembre 2006 à 16:22


    Les petits souliers noirs ne résonnent plus.
    Le même carrelage caramel accueille mes chaussettes glissantes.
    Les journées semblaient immenses, comme des palais à décorer,
    et la nuit une longue, longue route.



    Je ne mens pas vraiment.



     

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  • saveyourself.

    Par fanguk le 22 Décembre 2006 à 22:57
    Y'a de la lumière dans la cuisine.
    J'suis montée, capuche sur la tete, j'ai pas vu les heures tourner, je bossais mon jap.(du coup plus personne en bas).
    Je vis absente de cette maison, mais avec le sourire.
    J'ai un bonnet ou une capuche h24 sur la tete,
    et j'essais doucement de percer la glace paternelle.
    A grand coup de j'men fous.
    De tout ce qu'il faut se foutre,d'ailleurs,
    sauf que cette maison est particulière, voyez-vous.
    "Obvioulsy,doctor,you've never been a thirteen year old girl".

    Si j'avais eu une bonne crise d'adolescence comme tout le monde, ça aurait moins compliqué les choses.
    A mon âge, manger un Kinder(ouai avec une majuscule, je respecte plus le Kinder que chrétien de troye,...)surprise par jour et hurler "MAMA" dans carrouf' (aux heures de pointes, en plus),
    c'est quelque peu déplacé.
    Vis en autarcie (oui je suis la reine, ou plutot la princesse, de mon propre monde imaginaire, ca m'evite d'être trop nombriliste en public, puisque je le suis jusqu'a l'overdose dans ma tête) dans une chambre pleine de kitty de livres de coussins ou l'air est chaud et paris loin (sans majusule, vous l'aurez deviné).
    Le Japon est proche, la cuisine trop éloignée, et le lit tout près.

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  • Paris perdu.

    Par fanguk le 19 Décembre 2006 à 18:40
    home made ...

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  • les ter dehors...

    Par fanguk le 18 Décembre 2006 à 16:28
    Home sweet home.
    je sais plus comment on écrit.

    Laisser passer les élats de mots
    les noter c'est comme epingler des papillons vivant, et les encadrer alors qu'ils bougent toujours.

    Paris perdu.
    J'ai plus trop peur.
    Les morts sont morts, il me semble que cette fois c'est solide.
    Les pinces trop ascerées
    la nuit trop froide.

    Je ne peux plus écrire.

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  • waiting as if

    Par fanguk le 18 Décembre 2006 à 16:19

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