• ps:(non, je ne les ai pas acheté).
    re-ps : (mon sens du kitch a des limites).

    (mais personne les voulait alors bon je les ai embarqué, elles restaient dans le noir toute la nuit toute seule elles ont été abandonées je pouvais quand même pas les laisser la comme ça quoi 'fin...!?).


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  • I'm not sad anymore.
    J'ai pas mal des réponses,
    et les raisons invoquées si elles me déçoivent, ce n'est que dans la forme,
    parce que je n'espere plus. Et c'est ce qui compte vraiment.
    Je n'espe
    re plus parce que j'ai compris,
    parce que quand on ferme les yeux dans la piscine et qu'on se laisse couler
    on sait qu'on touchera le fond doucement, et c'est comme ca que je l'ai lu.
    J'ai enfin compris une bonne partie de l'histoire et je viens de me poser au fond de la piscine
    sans me faire mal.
    L'ennuie, le hasard et le manque de choix n'ont jamais été de bonnes motivations pour des réponses à la va vite.
    Peut être qu'elles peuvent l'être pour écrire, mais pas pour répondre. Pas quand de la consideration entre en jeu.
    La considération, c'est probablement ça qu'il te manque.
    Je sais maintenant à qui j'écrivais. Dedans et dehors.
    Surement pas a une adresse mail avec un être humain à l'autre bout. J'ai été idiote, mais je suis jeune.
    C'est probablement une partie de l'excuse.
    Je sais pas comment on apprend sans tester les choses.
    J'écrivais a celui que je n'avais pas rencontré.
    Peut etre a celui derrière plusieurs écrans,peut etre celui d'apres, mais certainement pas a celui d'aujourd'hui.
    J'écrivais au loin. Je regrette pas les actes.
    Mais c'est pas a ça que je pensais, je confondais les choses. Je confondais les êtres.
    Tout est plus clair maintenant.Maintenant que je comprends que j'ecrivais juste au passé.
    Je n'avais pas compris a qui j'écrivais, et j'esperais donc un retour possible.
    Maintenant je sais.J'écrivais au passé, sans aucune melancolie pourtant.Juste au possible.
     Je pensais a un être qui n'est pas.

    Tout est clair,
    et je marche vite
    sur des jambes qui toujours m'ettonent de leur longueur quand je m'asseois.
    You're not sick and will never be cause you're dead a long time ago.
    J'ai plus qu'a repousser le sol.


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  • La ville s'étale un peu comme un Hopper pâle ce matin.
    Je m'accroche au ciel dense.
    Le juste milieu, pour une fois il n'est pas bleu, et donc trop haut pour que je puisse l'atteindre,
    ni trop bas, trop plein, celui qui reste sous les ongles quand on gratte.
    Il est parsemé, je perçois plus de coleurs.
    C'est une lumière plate sur les murs de briques.

    Le matin est un moment clair;
    Peut etre parceque le matin il est encore trop tôt pour pleurer la nuit.
    Alors j'écris.
    J'ai encore un peu de glue bouillante autour des épaules,
    parce que l'écriture vraiment,
    c'est plus dangeureux que la photo.
    L'interpretation à plus de racine, on trebuche plus facilement, avec du texte.

    Même pas peur.


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  • Fucking Flatmates,
    (au sens propre).
    My "headphones saved my life, last night"...

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