Tu parles de rentrer bien rentrer vite.
J'ai voulu faire la roots, eh ben une fois pas deux.
Après environ 12 heures de vols bien tassées, avec bien sur du vide a gauche et une mamie a droite donc pas moyen de dormir et pas de place pour mes grandes jambes de grande,
je pensais me la jouer facile avec un bus direct du terminal de l'aéroport a ma petite ville a la mer et ses mouettes...
C'était sans compter sur le fait que les trois prochains bus, a 2h d'intervalles les uns des autres, étaient full. Full. Et refull. Pas moyen d'acheter un billet ...
Alors moi et mon gros sac a dos de tortue-collegiene, mon eos (tonyu, pour les intimes) et ma grosse valise on a visité le métro Londonien ( et plus j'y passe plus j'aime pas du tout du tout c'te ville) en plein rush hour ( qui fort heuresement n'a rien de comparable avec Tokyo - Londres a côté c'est du cheese-cake tout mou ) pendant 50 minutes pour choper un train a Waterloo qui lui va mettre un peu plus d'une heure a me ramener.
J'ai pas dormi depuis quelque chose comme 60 heures.
J'avais presque oublié cet état second, I used to be in that sleep-drunk state a lot a while ago.
All I hear is soft sounds through invisible coton, all around my head.
My eyes are sore, my skin as well.
I didn't cry, opening my door. But I really felt like.
I felt like and my home is nowhere I can possibly think of. I don't know, where it is.