Kampio+tamago+kappa = makis en masse.
C'etait bon et pas long.
Demain je dois prouver que je suis une grosse nouille (teste de nivveau oblige) et apres ça, à moi la pluie et le beau temps :
avec mon super parapluie-chat,plus rien ne m'arrete.

A moi les pas sans écho.

Un monsieur dans le train n'arretait pas de s'endormir sur son voisin de gauche, un garçon qui se creusait la tête pour savoir ce qui me faisait tant sourire bêtement, et sa voisine de droite, une madame qui de toute évidence avait l'air de trouver la situation bien moins drôle que moi.
Le pauvre se redressait inconsciemment environ une fois par seconde et puis ca tête retombait sur l'épaule de gauche ou de droite et il s'étalait un peu plus...
Malgrès une belle marque sur ma lèvre à force de me mordre pour ne pas rire, je n'ai pas pu m'empecher un gloussement, qu'heuresement personne n'a entendu. J'avais beau detourner le regard, je le voyais quand même s'avachir sur ses voisins, se redresser, s'avachir, se redresser... et je voyais ces derniers, avec leur regards de travers et leur agacement silencieux, chercher desesperement un moyen de s'en sortir.
Au bout de quelques stations, la place a coté de moi s'est libérée, la femme s'est jetée dessus, en courant presque, et à la même station le mec s'est reveillé et est descendu, sans s'être rendu compte de rien.
Et l'autre se demandait toujours pourquoi j'avais un sourire-dans-deux-secondes-je-vais-exploser-de-rire-au-secour- sur ma bouche trop française.